Plongée dans le BDSM...

Il est difficile de s’autocritiquer, c’est quasiment un art ! Mais c’est aussi utile pour ouvrir les yeux sur ces erreurs et réussir, par la suite, à les corriger. Encore plus de l’écrire et de le partager avec les autres…

Je me dois pourtant de passer par cette étape, au vu de ce qu’il m’arrive depuis un certain temps. Je vais essayer de rester dans une sorte de « positive attitude » (une jolie raffarinade !) pour vous présenter le fond de ma pensée, car je sais que nombreux dominants ou même soumises, n’aiment pas entendre ou lire des pensées négatives d’un  autre dominant ! Pourtant il ne me faudrait pas oublier que même étant « Maitre » nous en sommes pas moins des êtres humains, ouvert à nos faiblesses, nos erreurs et nos états d’âme….

Il y a des moments ou l’on pense être plus « fort » que ce que l’on est réellement… surement en pensant être assez solide, être assez riche de sa ou ses expériences, de ses bases. Mais dans ce cas, lorsque vous pensez que vous aller pouvoir tracer votre route en évitant les pires écueils, c’est la que vous enchainez les petites erreurs ou grosses déconvenues !

Et la insidieusement, votre esprit commence à se voiler d’un doute. Mais vous, consciemment, vous vous dites que c’est  « une mauvaise passe » ou que cela ira mieux après… Et c’est la une deuxième erreur ! Car à ce moment la de votre pensée, vous « glisser » vers une perte de vos repères, qui vous amène a douter, non pas de votre âme de dominant mais vos certitudes et avec le temps d’affaiblir vos qualités de contrôle et de domination !

Ne sachant plus ou vous en êtes, vous risquez de vous perdre et de perdre celle qui est à vos pieds. Si vous en arrivez à, il faut donc se préparer à votre autocritique : comprendre ce qu’était vos soi-disant « certitudes », vos vraies faiblesses. De là, en découlera, je vous le souhaite, un second travail qui vous permettra de vous redécouvrir, de vraiment comprendre vos « méthodes de fonctionnement » et d’en établir une nouvelle façon de dominer, donc de redevenir vous-même !

Reste que votre soumise (si vous en avez une en main, à ce moment de difficulté) peut être «troublée » voire perturbée par vos propres questionnements ! Tout les cas sont possible, alors… Il y a ceux qui préféreront laisser la soumise libre , pour qu’elle ne pâtisse pas de ces problèmes... d’autres qui essayeront de continuer cette relation « bancale » quitte à prendre d’autres risques ! Il y aussi d’autres possibilités, qui vous amèneront quand mêle à des choix plus que délicat, sachez le !

Moi j’ai fait le mien… j’en ai bien saisi les risques, pour elle, come pour moi ou notre relation… Mais il fallait faire un choix et je ne le regretterais pas car c’est le mien : c’est là, maintenant, que je reprends, par cette décision, le contrôle et que je marche de nouveau sur la bonne route… la mienne !